5 octobre 2010
La vie à l'auberge et les nuits montréalaises
Je sais plus si je vous avais décrit mon dortoir ni l'auberge, ce sera fait. Dix lits, pas de porte mais des rideaux pour isoler un peu du couloir, mixte et au dessus de la rue : je me suis fait réveiller un matin par un "tabernak" bien sonné ! Héhé !...